Premières lignes : On pourrait croire que, à part quelques sociologues jaloux, les sondages entraînent une adhésion générale : celle des producteurs qui croient à ce qu’ils font, des commentateurs qui citent des chiffres comme des données évidentes et significatives et celle du public dont les médias se prévalent pour justifier leur publication. Comment le public serait-il donc hostile alors que, depuis les origines, les sondeurs soutiennent que les sondages sont démocratiques et ne se privent pas toujours de juger que leurs critiques sont antidémocrates ? Or, insondable paradoxe, il semble bien que les sondages ne soient pas populaires ou encore que les citoyens leurs soient assez largement hostiles, au moins sceptiques.....
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