« Le gros problème pour tous les hommes politiques qui sont aux manettes, qu’ils soient de gauche comme de droite, c’est de faire avec l’inquiétude de cette opinion (...) Comment faire aimer le changement à une opinion publique inquiète. C’est ça la question fondamentale à laquelle sont confrontés le premier ministre, le président de la République, les ministres, et les dirigeants d’entreprises publiques ». (11 avril 2008, Paris Nando, 3e édition, Baromètre de la vie politique française, Sciences-Po, Yori-Eye).
La définition néolibérale du syndrome de Stockholm, en somme.