Comprenne qui pourra. On ne peut pas dire plus clairement que les sondages sont antidémocratiques. Sauf à substituer les sondages - dont les fautes méthodologiques et l’absence de contrôle sont amplement documentés - aux élections. L’Observatoire des sondages qui dénonce ces impostures depuis maintenant treize ans devrait en tirer gloire : « eh bien, non ». Il n’y a pas de quoi.
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