Le « mystère » de l’impopularité de Nicolas Sarkozy révélé par un expert :
« Retenue présidentielle, crise de la Grèce et de l’euro évitée pour l’immédiat, rassemblement autour du drapeau à l’occasion des morts d’Afghanistan se sont additionnés pour redresser la popularité présidentielle. Mais cette addition provisoire n’a pas touché les presque deux tiers d’électeurs mécontents, plus préoccupés de leur sort personnel et en attente non d’un silence mais d’un discours social qui ne vient pas ». (Jean-Luc Parodi, Ifop, in Journal du dimanche, 24 juillet 2011).